Association Théosophique Contre les Fondamentalismes Religieux
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    NOTES DU WEBMASTER: voici un autre texte issus du site SOS ISLAM sur lequel vous pourrez vous rendre en cliquant sur l'image ci-dessous, si vous désirez d'autre informations importantes concenrnat cette religion. C'est toujours dans le but de regrouper les informations que je recopie ces textes.
    Bonne lecture.


    Sarkozy recevant les représentants de l’Islam en France.

    Nécessité de la réforme de l'Islam
    par Djinn Issa

    A l’heure du terrorisme islamique, des attentats suicides et de la propagation de la haine anti-occidentale, quel sera l’avenir des relations entre Islam et Occident ? Allons-nous vers une confrontation généralisée entre le monde occidental civilisé et les franges arriérées de l’Islam politique, comme l’espère secrètement Ben Laden ? Nous aurions tort de rejeter cette perspective : à l’aube d’une prolifération anarchique des armes nucléaires, rien ne pourra empêcher un groupe terroriste de lancer une attaque apocalyptique contre plusieurs villes américaines et européennes simultanément. Tout est une question de temps : déjà des savants pakistanais transmettent des informations stratégiques à leurs collègues iraniens, et rien n’interdit de penser que plusieurs spécialistes nucléaires collaborent déjà avec des groupuscules terroristes. Les 50 millions de morts de la seconde guerre mondiale risqueront de devenir dérisoires face à l’apocalypse nucléaire que nous réserve l’avenir. Les musulmans seront d’ailleurs les premières victimes de ce premier et dernier génocide anti-occidental de l’Histoire : si les islamistes algériens rêvent de transformer Paris en un immense brasier ardent, ils rêvent également d’exterminer tous ces traîtres algériens qui pactisent, à leurs yeux, avec l’Occident impie.

    Pour une analyse profonde l’idéologie musulmane

    Nos politiques occidentaux croient qu’il suffit de résoudre les symptômes politiques et non les causes idéologiques de cette haine criminelle contre l’Occident. Ils entretiennent des régimes despotiques, en Tunisie, en Egypte, au Pakistan et ailleurs qui aggravent le déficit démocratique dont souffre la jeunesse arabo-musulmane. En particulier la famille Bush est pleinement responsable du maintien au pouvoir du wahhabisme saoudien, cette secte rétrograde et barbare dont est idéologiquement issu Ben Laden. Notre attitude aveugle consiste à détourner pudiquement le regard, respect des cultures différentes oblige, sur les raisons véritables à l’idéologie de la guerre sainte, et à préférer une lecture superficielle sur une analyse profonde de la pensée musulmane. Combien de fois avons-nous entendu des intellectuels issus de la génération 68 prétendre que « seule la pauvreté est responsable de l’intégrisme » ? Faut-il leur rappeler que les terroristes du 11 septembre 2001 étaient au contraire des individus instruits, bien éduqués et appartenant à des milieux sociaux relativement aisés ? Faut-il leur rappeler que l’islamisme radical se porte beaucoup mieux en Arabie Saoudite, pays relativement prospère, qu’en Maurétanie et au Sénégal, parmi les plus pauvres au monde ?

    Après que l’Allemagne nazie eut commis les crimes qu’on connaît, toute la société allemande a réalisé son « mea culpa » et a cherché à comprendre ce qui, dans la culture et la pensée collective nationale, aurait pu conduire à l’acceptation odieuse de la Shoah. A l’inverse, après les attentats du 11 septembre, rares furent les imans éclairés qui commencèrent à douter de l’interprétation du Coran chez leurs ouailles, et les quelques intellectuels musulmans courageux qui osèrent établir un lien entre Islam et islamisme furent vite réduits au silence. Pour preuve de cette absence totale de remords et d’esprit critique, les autorités religieuses égyptiennes tolèrent encore de violent prêches anti-américains à l’intérieur de la grande mosquée du Caire. Or que dirait-on si le cardinal Lustiger laissait des intégristes catholiques hurler leur haine des Juifs et des mécréants, porte-voix aidant, au sein même de la cathédrale de Paris durant un office ? Eh bien ce qui est scandaleux en Occident paraît normal en Orient. Cette différence flagrante de mentalité montre bien que la pieuvre de l’islamisme trouve son explication au plus profond de la pensée collective musulmane, et que la violence, le terrorisme, l’intolérance, la haine islamistes relèvent d’une maladie consubstantielle à l’Islam.

    Réformer l’Islam, la seule antidote à l’islamisme

    Car que l’on veuille ou non, les concepts odieux de « guerre sainte », de « lutte contre les infidèles », de « meurtre contre les incroyants », se trouvent précisément inscrits noir sur blanc dans le Coran. On peut reprocher tout ce qu’on veut aux terroristes islamistes, mais pas de ne pas savoir lire : « Faites la guerre contre les gens du Livre qui […] n’acceptent pas la religion d’Islam » (s 9, v.29), car « ceux qui suivent Mohamed sont impitoyables pour les incrédules » (s.48, v.29)… « Les juifs et les chrétiens […] sont les plus vils de toutes les créatures » (s.98, v.51), autant de leitmotivs coraniques ressassés par les islamistes frustrés et abrutis par leur religion guerrière. Que l’on veuille ou non, l’Islam est avant tout une religion politique qui se sert de la guerre pour étendre au monde sa bonne parole monothéiste : « Si tu n’arrives pas à les convaincre par la persuasion, convainc-les par les armes » lit-on dans le 9ième sourate.

    Les textes sacrés de l’Islam, Coran et Hadîts, présentent donc une dangerosité intrinsèque qu’il faut combattre si nous voulons terrasser la bête immonde de l’islamisme. Mais comment faire ? En attaquant les musulmans de front pour extirper – de gré ou de force – leur croyance absurde de leurs esprits insensés ? Ce serait se conduire exactement comme les terroristes islamistes que nous dénonçons pourtant. Alors envoyer des missionnaires chrétiens en terre d’Islam pour convertir massivement les musulmans à une foi plus douce, réconciliant ainsi Occident et Orient ? Il faudrait être bien naïf pour croire un instant que les musulmans vont renoncer à leur propre identité pour adhérer spontanément à une religion symbole de l’Occident méprisé. Alors donner le temps au temps en espérant que le progrès économique, le renouveau démocratique, l’émergence de classes moyennes instruites contribuent à la victoire progressive de la sécularisation sur l’imprégnation étouffante de la religion ? C’est l’objectif secret des démocrates occidentaux. Hélas, il semble pourtant que cette dernière stratégie, en dépit de l’intérêt qu’elle semble présenter, montre de sérieuses limites.

    En effet, la nature humaine fait qu’il est impossible que l’Homme puisse se passer de religion, ou du moins de spiritualité. L’expérience communiste le démontre clairement : ni la destruction des Eglises et des Temples, ni l’athéisme officiel n’ont réussi à éradiquer le Christianisme de Pologne ou de Russie, bien au contraire. Là aussi, que l’on veuille ou non, les « musulmans actuels » ont besoin de croire en quelque chose.

    Dans ces conditions, il faut laisser les musulmans croire en Allah, le Dieu unique, mais influer de manière décisive sur leur conception de Dieu pour que leur foi, autrefois grossière et guerrière, se mue en spiritualité positive pour l’Humanité entière. En d’autres termes, il faut entreprendre la réforme théologique de l’Islam, exactement comme Martin Luther initia la réforme du Christianisme après l’abus des « Indulgences » au XVIième siècle.

    Djinn Issa